Un élément fondamental du système correctionnel du Canada consiste à assurer la garde sécuritaire et humaine des délinquants et à favoriser leur réadaptation et leur réinsertion dans la collectivité. L’an dernier, ce principe s’est retrouvé à l’avant-plan lors d’une initiative de collaboration entre le Service correctionnel du Canada (SCC) et le Département des services correctionnels des Bahamas (DSCB).
Pour les délinquants du Nunavut, maintenir les liens avec sa famille et ses amis est le défi de toute une vie. Le Nunavut est formé d’environ 25 petites communautés inuites éloignées, qui ne sont accessibles que par la voie des airs. Il manque d’établissements correctionnels fédéraux au Nunavut, et les délinquants sont souvent contraints de purger leur peine dans le sud du pays, loin de leur collectivité et de leur famille.
With a scientific poster and Correctional Service of Canada booth, Karine Gingras and Danielle Roy, two employees of the Québec City Parole Office (PO), promoted the organization’s mission at the 38th Congrès de la Société de criminologie du Québec.Par le biais de leur affiche scientifique et de leur kiosque à l’effigie du Service correctionnel du Canada (SCC), Karine Gingras et Danielle Roy, deux employées du Bureau de libération conditionnelle (BLC) de Québec, ont fait la promotion de la mission de l’organisation lors du 38e Congrès de la Société de criminologie du Québec qui se tenait du 8 au 10 novembre 2017 au Manoir Saint-Sauveur.