L’ancien délinquant Bill Sands, avec l’appui du révérend James Post, a fondé, en 1963, ce qu’on appelle maintenant la Société de la septième étape, à la prison d’État du Kansas. Leur objectif était de réduire le taux de récidive parmi les « incorrigibles » au sein de la population carcérale – aussi appelés les détenus les plus coriaces et les plus endurcis.
Le Projet Ephesus est une initiative bénévole qui finance, organise et présente des cours de niveau postsecondaire aux apprenants incarcérés dans les établissements du Service correctionnel du Canada (SCC). Le projet, qui tire son nom de la grande bibliothèque de la ville antique d’Éphèse, centre de culture et d’apprentissage de l’Empire romain, vise à apporter la sagesse et la culture aux personnes incarcérées.
Carole Eldridge a travaillé pour le programme Possibilités de justice réparatrice (PJR) du Service correctionnel du Canada (SCC) pendant 14 ans. En tant que praticienne en justice réparatrice et médiatrice dans les cas de crimes graves, elle fournissait des soins empreints de compassion à ses clients. Elle a accompagné à la fois des victimes et des délinquants dans leur cheminement vers le dialogue et la responsabilisation véritable. Nous nous sommes récemment entretenus avec Carole, qui vient de partir à la retraite, au sujet du programme PJR et de son travail remarquable.
Sedna est la déesse de la mer ainsi qu’une importante et puissante figure féminine de la culture inuite. C’est pourquoi un délinquant inuit a choisi de faire une sculpture de Sedna et de la donner de façon anonyme à l’association Pauktuutit Inuit Women of Canada.
Le 20 janvier 2022, Tam Le, un délinquant à sécurité minimale à l’Établissement de Stony Mountain, a participé à un symposium virtuel de Walls to Bridges. Cependant, Tam ne participait pas au symposium sur Zoom qu’à titre d’observateur seulement. C’était l’un des présentateurs qui a discuté d’une étude qu’il avait coécrite avec la professeure d’université Mme Judith Harris.
Le Service correctionnel du Canada (SCC) compte plus de 4 000 bénévoles qui travaillent directement avec les délinquants pour favoriser leur réhabilitation et leur réinsertion sociale. Le bénévolat au SCC a des racines historiques profondes qui remontent à la fin des années 1800. Les bénévoles en milieu correctionnel peuvent offrir une interaction émotionnelle et humaniste qui complète les interactions avec le personnel. Ils établissent un lien entre les délinquants et le monde extérieur et donnent l’exemple d’un comportement prosocial.
Alors que nous célébrons le Mois de l’histoire des Noirs, Entre Nous Express a voulu prendre des nouvelles de Maxime-Kalifa Sanou, quatre ans après le reportage sur ses exploits sportifs et sa discipline exemplaire.