ISSN 2817-5360
Le Musée pénitentiaire du Canada, qui était jadis la maison du directeur du Pénitencier de Kingston. Elle a été construite par des groupes de détenus en 1873 et elle fête ses 150 ans cet été.
Lorsque Doris Fortin a commencé à travailler en tant qu’agente correctionnelle en 1984, les délinquantes suivaient les mêmes programmes correctionnels que les hommes.
Patrick (Pat) Avery ouvre la porte de la nouvelle camionnette Ford Transit du Service correctionnel du Canada (SCC) au moyen de son téléphone cellulaire. Ce petit geste facilite son travail en tant que responsable des agents de libération correctionnelle (RALC).
Un mode de vie sain est essentiel pour tout le monde. Il n’est donc pas surprenant que le programme de conditionnement physique du SCC, qui favorise un mode de vie sain, aide les personnes incarcérées à améliorer non seulement leur santé physique, mais aussi leur bien-être mental et social.
Au cours des trois dernières années, le projet de jardinage de l’Établissement d’Edmonton pour femmes (EEF) a fleuri. Ce qui a démarré comme un petit carré de légumes s’est transformé en une douzaine de bacs surélevés, une parcelle de taille moyenne, quelques serres et stations de compostage, grâce à un groupe de délinquantes qui ont le pouce vert.
Le Projet Ephesus est une initiative bénévole qui finance, organise et présente des cours de niveau postsecondaire aux apprenants incarcérés dans les établissements du Service correctionnel du Canada (SCC). Le projet, qui tire son nom de la grande bibliothèque de la ville antique d’Éphèse, centre de culture et d’apprentissage de l’Empire romain, vise à apporter la sagesse et la culture aux personnes incarcérées.
Carole Eldridge a travaillé pour le programme Possibilités de justice réparatrice (PJR) du Service correctionnel du Canada (SCC) pendant 14 ans. En tant que praticienne en justice réparatrice et médiatrice dans les cas de crimes graves, elle fournissait des soins empreints de compassion à ses clients. Elle a accompagné à la fois des victimes et des délinquants dans leur cheminement vers le dialogue et la responsabilisation véritable. Nous nous sommes récemment entretenus avec Carole, qui vient de partir à la retraite, au sujet du programme PJR et de son travail remarquable.